dimanche 13 décembre 2015

Dada Ksakis, 1ère Exposition Personnelle : "Éternel Retour" (en partenariat avec la ville du Raincy)

Dada Ksakis
1ère Exposition Personnelle : "Éternel Retour"
En partenariat avec la ville du Raincy


Du 25 janvier au 6 février 2016
Agora, salle Finchley
1, allée Nicolas Carnot 93340 le Raincy






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vendredi 23 octobre 2015

Houda HADDANI (1984) - Biographie by Artprice

Houda HADDANI: biographie de l'artiste Houda HADDANI, informations, indices et prix de ses œuvres en ventes aux enchères dans toutes les disciplines artistiques: Peinture,Photo. Marché de l'artiste.

 
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dimanche 20 septembre 2015

samedi 8 août 2015

mardi 4 août 2015

VENTE AUX ENCHÈRES PAR ROSSINI (Maison de Ventes aux Enchères) : Houda HADDANI, Vente "Créations Contemporaines"

VENTE AUX ENCHÈRES PAR ROSSINI (Maison de Ventes aux Enchères)
Houda HADDANI, Vente "Créations Contemporaines"

Deux œuvres de l'artiste Houda HADDANI seront vendues aux enchères Samedi 19 septembre 2015 à 14h (Salle des Ventes Rossini).
Catalogue et salle d’exposition visible sur rossini.fr et auction.fr à partir du vendredi 18 septembre à 14h.


Lot N°30 : Le Cri ("Série 2, Éternel Retour")
Numérique exemplaire 1/3
Certificat d'authenticité délivré avec signature et tampon.

Lot N°31 : Étrange ("Série 3")
Acrylique sur toile 40cm*40cm
Signée à droite "Haddani".


Expositions publiques :
Salle des Ventes Rossini
7, rue Rossini 75009 Paris
Vendredi 18 septembre : 10h45 à 18h.
Samedi 19 septembre : 10h45 à 12h.


Vernissage en présence de l'artiste :
Vendredi 18 septembre 2015 de18h30 à 21h.



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vendredi 31 juillet 2015

Houda Haddani sur les ondes de Radio Tanger Med dans l'émission "Les Marocains du Monde"

Houda Haddani sur les ondes de Radio Tanger Med dans l'émission "Les Marocains du Monde".
 Interview réalisée et présentée par le journaliste Ahmed Ifzarne.


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vendredi 3 juillet 2015

dimanche 28 juin 2015

Arrestation des jeunes femmes marocaines : le bras de fer entre tradition et modernité durant le mois de ramadan


Arrestation des jeunes femmes  marocaines : le bras de fer entre tradition et modernité durant le mois de ramadan

Deux jeunes femmes ont été arrêtées à Agadir au Maroc à cause de leurs tenues jugées trop provocantes, leur procès aura lieu le 6 juillet 2015. Une pétition lancée a bientôt atteint les 20 000 signatures et montre le refus des musulmans de tomber dans ce piège si facile consistant à utiliser en tout premier lieu la femme pour appuyer des règles religieuses interpréter souvent de façon personnelles et très subjectives.  Nous sommes en 2015 et il est toujours aussi facile de prendre une femme en otage pour l'a rappeler à l'ordre et s'ériger en modèle de vertu et de piété. Messieurs ne justifiez pas votre (mauvaise) foi en accusant les femmes de provocation et de manquement à la religion.

Certes le mois de Ramadan est sacré et toute musulmane le sait et est assez intelligente pour faire la part des choses. Certains parlent de manquement grave au caractère sacré du mois de ramadan qui a été bafoué. Soyons honnête, au Maroc il n'est pas interdit de porter des robes même pendant le mois du ramadan. D'ailleurs la djellaba est une sorte de robe. Ainsi tout dépend de la manière dont est perçue cette robe par l'homme évidemment.  Il s'agit donc d'un point de vue purement subjectif.

La vraie question à se poser est de savoir pour quelles raisons ces deux jeunes femmes vêtues d'une simple robe auraient soi-disant provoquer l'indignation. Lors de son interview sur la 2ème chaîne marocaine, l'une des jeunes femmes dit avoir été harcelée dans un premier temps par un homme qui lui demandait son numéro de téléphone. Est-on alors face à un admirateur éconduit qui a cherché à se venger sur le moment provocant un attroupement ou à une simple coïncidence dans laquelle une jeune femme se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment? Le sujet est bien évidemment plus compliqué que cela puisqu'il s'agit encore du fameux bras de fer entre tradition et modernité et de surcroit durant le mois de ramadan.

Il est intéressant de remarquer et de ne pas s'étonner que les plus indignés sont encore et  toujours les hommes à vouloir constamment reléguer la femme au rang de l'ignorante ne sachant pas exercer convenablement sa foi et ayant besoin de la tutelle de l'homme.  Le corps de la femme a toujours été chargé de fantasmes et sa tenue est l'outil pour y accéder. Messieurs, si vous interdisez aux femmes de porter des robes que vous juger en fonction de vos critères : trop courte, trop moulante, trop provocante et j'en passe, interdisez également aux hommes de se baigner  et de jouer au foot torse nu en plein ramadan. Car nous aussi les femmes nous avons des yeux pour regarder ainsi que des fantasmes et vous risquer de nous provoquer...

Houda Haddani

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Mettre une robe n'est pas un crime ! #‎Mettre_une_robe_nest_pas_un_crime‬

Mettre une robe n'est pas un crime !
 Soutien aux deux jeunes femmes d'Agadir


 Parce que la Foi c'est bien plus que du textile et qu'une femme n'est pas seulement un corps, signez la pétition :
#‎Mettre_une_robe_nest_pas_un_crime‬

https://secure.avaaz.org/fr/petition/Au_ministre_de_la_Justice_et_des_Libertes_Mettre_une_robe_nest_pas_un_crime/?akekBdb 



Mobilisation sur les réseaux sociaux :

#MettreUneRobeNestPasUnCrime
Posted by Houda HADDANI Artiste Visuelle on samedi 27 juin 2015

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lundi 2 février 2015

Aniconisme et iconoclasme dans l'Islam



Les attentats contre Charlie Hebdo ont provoqué une vague émotionnelle sans précédent d'autant plus que la France n'avait pas connu d'attentats depuis plusieurs années. La publication de caricatures du prophète Mohammad (Mahomet terme plus couramment utilisé et controversé pour désigner le prophète) a été le déclencheur d'une crise sociale et d'un questionnement autour de l'islam et de la figure du prophète. Certains musulmans y voient une atteinte personnelle à ce qu'ils sont et à leur culture et d'autres y voient un blasphème ou une atteinte générale à la religion musulmane.
Deux questions découlent alors de ces "malentendus" et discordes qui divisent non seulement la société française mais surtout le monde musulman. Pour la plupart des musulmans et surtout pour les sunnites, il est admis que la représentation figurative en général est prohibée et contraire à l'Islam. Cette affirmation résulte de la pratique de l'islam et du chiisme.
La problématique est donc de définir où se situe la frontière entre l'aniconisme et l'iconoclasme dans l'islam afin d'éviter toute confusion en déterminant comment l'image est utilisée dans le monde musulman.


L'Aniconisme et l'iconoclasme sont des termes aux finalités différant selon le domaine d'utilisation de l'image.
L'aniconisme est l'absence de toute représentation figurative. Dans l'islam elle concerne Dieu et le prophète. Le phénomène est en général codifié par la tradition religieuse et devient en tant que tel une prohibition formelle bien ancrée dans les traditions, et que l'on retrouve chez les musulmans sunnites. L’iconoclasme est la destruction délibérée de représentations religieuses de type figuratif, pour des motifs religieux ou politiques. Ce courant de pensée rejette la vénération adressée aux représentations du divin, et particulièrement dans les icônes.

L'Aniconisme est une restriction partielle de représentation matérielle.
L'usage ḳurʾānique du verbe ṣawwara (donner forme) est un terme qui suggère que sa signification première est de donner forme ou représenter une personne ou une chose (XL, 64; LXIV, 3; VII, 11; III, 6). Les restrictions bien connues contre l’idolâtrie en Islam empêchèrent le développement de la sculpture de sorte que le terme muṣawwir qui est appliqué à Dieu dans le Ḳurʾān, désignant celui qui façonne, est habituellement utilisé comme équivalent de «peintre, dessinateur» quand il s’agit d’une personne.
L'image dans la pratique religieuse est variante. Dans la sphère religieuse, une attitude d'hostilité manifeste envers la représentation figurative demeure face aux interdits, et traditions ou autres valeurs « intouchables ». C'est le cas chez les musulmans sunnites où la représentation de Dieu du prophète et des saints est strictement interdite. La pratique commune chez les sunnites ne conçoit pas le fait que le prophète soit représenté et encore moins caricaturé. Nombreuses ont été les réactions violentes face aux dessins représentant le prophète Mohammad et une certaine indignation émanant de musulmans "modérés", bien qu'ils admettent et comprennent le principe de liberté d'expression en France. Il est donc nécessaire d'analyser quelles sont les raisons de cette indignation. En effet, la pratique sunnite rejette la représentation du prophète et des saints contrairement aux chiites. Ce rejet est donc justifié par une pratique et une tradition.

L'iconoclasme est une restriction totale de représentation matérielle.
En effet, une suppression systématique de l'image est appliquée. Lorsqu'il est activement imposé et aboutit à la suppression de représentations, l'aniconisme devient iconoclasme. Dans l'islam sunnite, l'interdiction de représentation est très prégnante afin d'éviter toute forme d'idolâtrie : le culte est voué exclusivement à un Dieu sans forme ni représentation, en dehors du temps et de l'espace, infini et donc insaisissable par l'entendement humain.
L'orthodoxie musulmane considère que toute représentation d'être possédant une âme est illicite et doit être détruite.
Une absence de représentation figurative est remplacée  par une représentation codifiée. L'absence de représentation figurée orienta sensiblement l'art, la culture, l'architecture arabo-musulmane. Ce qui peut expliquer le goût pour la calligraphie, un style architectural plus épuré qu'en Occident, une plus grande sensibilité artistique pour l'harmonie des formes géométriques. Concernant le sunnisme, on connaît des épisodes iconoclastes dans le passé, dirigés par exemple contre les images chrétiennes sous les umeyyades.



Aniconisme et iconoclasme sont deux interdits basés sur des sources différentes.
Une intégration profonde de l'image figurative dans les pratiques religieuses musulmanes chiites est largement répandue. En effet, les portraits d'Ali et de Husayn sont omniprésents dans la vie quotidienne, que ce soit sous forme de peinture, de pendentif etc.
La création d'image représentant le prophète Mohammed a été d'ailleurs autorisée par une fatwa du grand ayatollah Sistani un temps soi peu si celles-ci demeurent respectueuse.
De plus, contrairement aux tombes sunnites, les sépultures chiites peuvent afficher l'image du défunt.

L'usage de l'image varie selon la sphère privée ou la sphère publique.
C'est une dichotomie aux frontières mouvantes. Cette dichotomie entre les sphères du public et du privé, pour ce qui est de l’utilisation de représentations figuratives, s’était déjà développée à l’époque umayyade. La décoration de mosquées avec des représentations d’arbres, de vignes et de fruits tant à Damas qu’à Médine, fut contrebalancée par l’utilisation de sculptures, de peintures et de mosaïques dans les riches résidences privées. Cet art figuratif utilisé dans les palais au début de l’Islam doit beaucoup à l’expression gréco-romaine qui était largement répandue, certains éléments étant tirés du répertoire de l’art sāsānide.
Le statut religieux de l'image demeure incertain si l'on compare le message divin et les hadiths. Il n’existe pas d’interdiction ḳurʾānique concernant la peinture ou les autres arts figuratifs, mais il semble que des réserves sur leur légalité aient été émises dans la littérature théologique à partir de la fin de l’époque umayyade ou du début de l’époque abbāside. Des ḥadīt̲h̲ largement répandus font état de la répugnance qu’ont les anges à entrer dans une maison qui contient une peinture et prédisent au muṣawwir (le dessinateur) une sévère punition lors du Jour du Jugement où il devra répondre de son incapacité à donner vie aux créatures qu’il aura représentées. Il existe cependant des ḥadīt̲h̲ opposés qui restreignent la portée de ces interdictions, tels que celui qui décrit la façon dont le Prophète ordonna la destruction de toutes les images situées dans la Kaʿba à l’exception d’une représentant la Vierge et l’Enfant. Certaines objections religieuses semblent provenir de l’aversion pour l’idolâtrie, mais d’autres traduisent la crainte que les images ne possèdent des pouvoirs quasi magiques.

La pratique de l'art figuratif va différer selon les régions.
L'acceptation de l'image en dehors des textes religieux et du message divin s'est fait à travers d'autres écrits. La Perse fut la région où la peinture trouva l’accueil le plus favorable, en particulier durant la période post-mongole lorsque le patronage des peintres devint une caractéristique habituelle de la vie de cour. Le texte arabe illustré le plus important fut le Maḳāmāt d’al-Ḥarīrī, ses illustrateurs ayant fait appel à leurs dispositions et expériences personnelles pour créer des images révélant de nombreuses facettes de la vie en ʿIrāḳ. Le courant visant à illustrer les textes littéraires arabes atteignit aussi le Mag̲h̲rib. Le roman de Bayāḍ et Riyāḍ est connu grâce à une version illustrée d’Afrique du Nord ou d’Espagne du VIe/XIIe siècle ou VIIe/XIIIe siècle.
Le développement d'une tendance aniconique va influer l'évolution de la figuration. L’approche des peintres dans les cours musulmanes selon les lieux, évolua du fait de l’importance de l’importation de peintures en provenance d’Europe, voire la présence de peintres européens dans les cours royales. L’introduction de la photographie au milieu du XIXe siècle apporta un nouveau critère de vraisemblance qui mina l’approche idéalisée utilisée par les peintres musulmans mettant fin de fait à une tradition singulière.

Houda HADDANI
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jeudi 8 janvier 2015

Nous sommes tous armés ! ‪#‎TousArmés‬ ‪#‎UnionNationale‬ ‪#‎JeSuisCharlie‬ ‪#‎NousSommesCharlie‬ ‪#‎CharlieHebdo‬ ‪#‎Solidarité‬ ‪#‎SolidariteCharlieHebdo‬

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